Au milieu de la baie d'Avesnes, alimenté par la Belleuse. En 1533, Jean et Grégoire Pilot vendent à Jean Bougon les deux tiers du moulin de Felleries, qui sont ensuite cédés en 1545 au chapitre des chanoines d'Avesnes. Le dernier tiers n'est acquis qu'en 1787. En 1734, l'édifice est reconstruit (en pierre bleue et brique), auquel un étage est ajouté vers 1830.
Situé sur l'Helpe, en aval de Grand-Fayt (voir aussi, le moulin de Grand-Fayt)
En Thiérache, le site du moulin au pied duquel l'Helpe s'étale, avec le bâtiment du XVIIe siècle qui servait à accueillir les hôtes de marque de l'abbaye est fort apprécié des peintres et des promeneurs. 
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Déjà cité en 1276 dans le "Vieil Rentier d'Oudenaarde", il servait à tordre des graines de noix ou de faines pour en extraire l'huile. Restauré par la famille Delfairière. On peut le visiter.
De nombreuses sources alimentent l'Aa , les eaux sont assez vives et très limpides grâce au substrat crayeux. De nombreuses petites écluses régulent le débit. D'une excellente qualité, ces eaux constituent une réserve avec ouvrages piscicoles et moulins à eau : ce fleuve comptait près d'une centaine de moulins au XIXe siècle. Beaucoup ont aujourd'hui disparus.
Vendredi 19 septembre 2003
Situé au hameau de Lucy sur le cours principal de l'Oise à l'emplacement d'un ancien moulin dont l'existence est attestée depuis le XIème siècle comme dépendance de l'Abbaye St Nicolas des Prés, l'actuel Moulin de Lucy est, dans cette partie de la Vallée de l'Oise, le dernier des moulins à farine du XIXème siècle à avoir survécu aux destructions de la guerre de 14-18. Il a été construit en 1840 par le Sieur Niay, meunier à Villers-le-Vert, puis transformé au début du XXème siècle en cotonnière spécialisée en teinture, apprêts et bobinage de fils jusqu'en 1978.
Magnifique moulin à eau de l'Avesnois, situé à Grand-Fayt, sur l'Helpe près de Maroilles, propriété de l'abbaye de Liessies au XIIe siècle.
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